Patria o muerte, venceremos!

Au premier coup d’oeil

✯ Nom : MACHADO, Juan
✯ Surnoms : Son nom de pays lui convient parfaitement, pas besoin de quelconque suffixe, de toute façon n’en acceptera pas d’autre que ceux donné par Spain et Canada.
✯ Âge : 16 ans
✯ Sexe : Masculin
✯ Anniversaire : 20 Mai
✯ Orientation Sexuelle : Non mais ! On ne parle pas de ça en publique voyons !
✯ Aile :

Américaine

✯ Niveau Scolaire :High {Personnages de 15, 16, 17 ans }

Le pays

❧Pays que vous représentez : República de Cuba, mais pour ceux qui ne comprenne pas plus loin que leur propre langue : République de Cuba.

❧ Langues que vous parlez : Parle principalement l’espagnol, mais a pas eu le choix de parler anglais pour se faire comprendre, a donc un accent assez prononcé, et se débrouille un peu en fraçais vu que c’est proche de l’espagnol.

❧ Histoire du pays que vous représentez :
Époque Précoloniale :
Cuba a été habité par des autochtones, peuple américain connu comme les Taïnos, aussi appelé Arawaks par les Espagnols, Guanajatabey et Ciboney avant l'arrivée des Espagnols. Les ancêtres de ces Amérindiens ont migré de la partie continentale du Nord, Centrale et du Sud de l’Amérique plusieurs siècles auparavant. Les Taïnos natifs ont l’île Caobana. Les Taino étaient les agriculteurs et le Ciboney étaient des agriculteurs, des pêcheurs et des chasseurs-cueilleurs.

Époque Coloniale :
Après avoir d'abord mit le pied sur une île appelée Guanahani le 12 Octobre 1492, Christophe Colomb débarqua sur la côte nord de Cuba, près de ce qui est maintenant Baracoa le 27 ou 28 Octobre. Il réclama l'île pour le nouveau Royaume d'Espagne et la nomma Isla Juana d’après Juan, prince des Asturies. En 1511, la première colonie espagnole a été fondée par Diego Velázquez de Cuéllar à Baracoa ; d’autres villes s’en suivi, y compris la future capitale de San Cristobal de la Habana qui a été fondée en 1515. Les Espagnols ont asservi environ 100 000 personnes indigènes qui ont résisté à la conversion au christianisme. Ils ont été principalement mit à la tâche de la recherche d'or. En un siècle, les peuples autochtones ont été pratiquement anéantis à cause de multiples facteurs, y compris les maladies infectieuses eurasiennes aggravées en grande partie par un manque de résistance naturelle ainsi que les privations qui découlent de l'assujettissement colonial répressif. En 1529, une épidémie de rougeole à Cuba tue les deux tiers des indigènes qui avaient auparavant survécu à la variole.

Cuba reste une possession espagnole pendant presque 400 ans (1511-1898), avec une économie basée sur l'agriculture de plantation, d'extraction et d'exportation de sucre, de café et de tabac en Europe et plus tard en Amérique du Nord. Le travail a été effectué principalement par des esclaves africains amenés sur l'île.
La population en 1817 était 630 980, dont 291 021 étaient blancs, 115 691 noires libres, et 224 268 esclaves noirs.

Même si, au xviie siècle, la population avait augmenté avec l'arrivée des colons espagnols et des esclaves africains, Cuba était encore, au début du xviiie siècle, une petite colonie. Pendant l'été 1762, la capitale fut conquise par les Anglais conduits par Georges Pocock et lord Albemarle. Ils allaient régner sur l'île pendant neuf mois. Aussi brève fût-elle, l'occupation anglaise modifia l'organisation économique et sociale de Cuba. Les restrictions commerciales imposées par l'Espagne furent abolies, marquant le début des échanges avec les colonies anglaises d'Amérique du Nord. Le trafic des esclaves s'intensifia pour fournir la main d'œuvre nécessaire dans les plantations. À l'issue du traité de Paris, signé en 1763, Cuba fut rendue à l'Espagne en échange de la Floride attribuée aux Britanniques.
Dans les régions plantées de palmiers royaux, trop accidentées pour les machines modernes, des brigades de travailleurs de provinces et de villes différentes et de toutes professions viennent encore couper la canne à la machette. Volontaires, nourris six fois par jour, pouvant gagner cinq fois plus qu'un ouvrier ordinaire, ils ont droit à tous les égards. Juste retour des choses : au xviiie siècle, le châtiment le plus redouté par l'esclave urbain était d'être vendu aux planteurs de l'intérieur ; prisonniers du domaine, les Noirs ne recevaient ni argent ni éducation.
Alors que la traite était officiellement abolie, plus de 360 000 esclaves furent débarqués entre 1820 et 1860 au port de la Habana, qui comptait au début du siècle 40 000 Blancs et 30 000 esclaves. C'est en 1886 que fut entièrement supprimé l'esclavage, fondement de l'économie coloniale, source des richesses de toute l'aristocratie créole.

L’Indépendance:
Les luttes pour l'indépendance remontent au milieu du xixe siècle avec la guerre des dix ans qui débuta en 1868 ; Les États-Unis intervinrent dans la guerre d'indépendance cubaine qui avait fait 200 000 morts depuis 1895 (soit 1/8 de la population) et occupèrent l'île de 1898 à 1902, puis de 1905 à 1909. Les États-Unis poursuivirent une ingérence marquée jusqu'en 1934.
Fidel Castro prend la tête d'une armée rebelle en 1956 et renverse le dictateur Fulgencio Batista le 1er janvier 1959. Il dirige Cuba jusqu'au 31 juillet 2006 puis c'est son frère Raúl Castro Ruz qui, après avoir assuré l'intérim du pouvoir, est élu le 24 février 2008 président du Conseil d'État et du Conseil des ministres par l'Assemblée nationale. L'année 2009 marque le cinquantième anniversaire de la révolution, célébrée par des festivités à Santiago le 1er janvier.
Les États-Unis sont, en 1959, l'une des premières nations à reconnaître diplomatiquement le nouveau gouvernement, mais les rapports entre les deux pays se gâtent dès le mois de mai de la même année, lors de la nationalisation des avoirs étrangers (dont ceux de United Fruit Co) à Cuba.

L'humain GARS

❧ Histoire Personnelle :
La Habana ! Capitale de Cuba, ville aux architectures espagnoles divines et endroit de naissance du jeune Juan. Ce jeune garçon déjà voué à être quelqu’un de peu commun est né durant un ouragan qui frappait sur les côtes cubaines. Le bambin s’en est tiré sans encombre, mais sa vie quotidienne en fut changée. Sa maison rasée, il fut obliger de vivre dans la pauvreté avec sa mère pendant plusieurs années. Pour subvenir aux besoins familiaux, elle se prostitua pour les touristes en vacance ou en voyage d’affaire, ainsi elle pouvait mettre du pain sur la table. En grosse majorité, il s’agissait d’américains de souche qui faisaient de nombreux vols pour pouvoir arriver à Cuba sans encombre. C’est comme ça que le jeune cubain eut une haine incroyable envers les américains. Le père du jeune cubain était un espagnol qui avait séduite sa mère lors d’une nuit chaude d’août. Ces talents de latin firent en sorte que ça ne prit pas long avant d’emmener la cubaine au lit et de malencontreusement réussir à la mettre enceinte. Après cette nuit torride, la jeune femme n’entendit plus parler de cet homme et vécu sa vie à élever son enfant seule. N’ayant pas beaucoup eu de présence masculine chez lui, ce furent ses voisins qui lui montra comment se comporter en société pour être sur que Juan ne devienne pas la sorte de garçon sur le point du transsexuel. Ces techniques marchèrent plutôt bien alors que de plus en plus qu’il vieillissait, le garçon au teint fortement basané agissait comme l’homme de la maisonnée et qu’il faisait toute tâche que le père était sensé faire. Dès qu’il sut marcher, parler et capable de se débrouiller sommairement bien, il décida d’aider sa mère avec les problèmes d’argent. Pour un enfant de 8 ans, travailler à transporter les bagages dans un hôtel était chose pas très difficile à comprendre. Sa mère s’en voyait désolé de le voir réduit à faire ça plutôt que d’aller à l’école, mais il insistait pour continuer et lui promis qu’un jour ils auraient un avenir meilleur.

Plus il vieillissait, plus il appréciait son travail. Il ne recevait pas de pourboire, mais les gens qu’il rencontrait le rendait heureux : des Canadiens. Ils savaient comment lui faire plaisir en lui offrant des friandises, chose qu’il n’avait pas souvent. C’est même arrivé un jour qu’un homme d’origine canadienne en voyage avec sa femme française l’invite pour le remercier de ses services à aller manger une glace. Grande révélation pour Juan qui se mit non seulement à adorer la glace, mais à aimer encore plus le Canada. Les voyageur en provenance de ce charmant pays étaient toujours sympathique avec lui et il rêvait de pouvoir un jour y aller, en évitant de passer par les States, bien sur.

C’est ça qui le motiva à aller à l’école. Les institutions étant gratuites, il n’eut pas de mal à y entrer. Il voulait apprendre l’anglais et le français pour montrer aux voyageur à quel point il était intéressé à sortir de son pays, il voulait en voir plus que son simple petit bout de pays situé en dessous de la Floride. Un jour, à ses 12 ans, son miracle arriva par l’intermédiaire d’une lettre :

« Bonjour à vous M. Juan Machado,

Vous êtes invitez à l’Académie World Hetalia parce que vous êtes différent.
Vous êtes particulier.
Vous ressemblez à n'importe quel être humain, mais vous êtes venu au monde avec l'âme de toute une nation.
Vous êtes une future nation.
Vous portez en vous l'Histoire du pays où vous êtes né. Votre corps renferme les souvenirs des balbutiements de votre culture, et la gloire vibrante de son évolution, les échos des guerres et celui des grands évènements du passé.
C'est une partie de vous qui est restée en sommeil durant vos douze premières années de vie. Vous avez grandi comme tous les enfants, et puis, à l'approche de l'adolescence, sont apparues les réminiscences furtives des époques qui vous ont précédé.
Vous avez douze ans. Une lettre vous convoque à l'Académie. C'est là que vous poursuivrez vos études.
Qu'importe que vous rêviez, petit, d'être pilote ou astronaute. Qu'importe que vos parents aient eu l'ambition de vous voir devenir avocat ou médecin. Votre avenir est déjà tracé : vous serez une nation.... Si vous êtes capable de le devenir. On ne va pas contre l'Histoire.

Bienvenue à l'Académie. »

Cette nouvelle dessina un sourire de victoire sur son visage. Sa mère en était fière de son petit garçon et il ne perdit pas de temps à enligner ses flûtes pour s’envoler vers la prestigieuse Académie qui allait changer sa vie (et lui éviter de faire son service militaire, la chance). Il allait devenir quelqu’un, il allait voyager et rencontrer des personnes comme lui mais d’origines différentes. Il allait surtout pouvoir botter le cul d’un certain américain…avec l’espoir qu’il ne se trompe pas d’avec le canadien.

❧ Vous avez l’air de quoi ?
Juan, maintenant devenu le jeune homme au corps de latino divin, a la peau basanée foncée mais pas noire. Sa peau étant brune va quelques fois jouer dans un ton profond se rapprochant un peu de la couleur olive. Ses cheveux, qu’il attache souvent en queue de cheval, sont ornés d’un cerceau qui garde sa chevelure imposante traversé par de multiples tresses jamaïcaines communément appelées « Dreadlock ». Ses cheveux suivant sa couleur de peau, mais plus foncés se rapprochent plus de la couleur chocolat. Ses yeux bruns tournant un peu vers le rougeâtre sont surmontés par des sourcils imposant pouvant être familiarisé avec ceux d’un certain anglais, mais plus mince que ceux-ci. Comme dernier trait de visage, Juan se laisse pousser la barbe de deux jours sur son menton se prolongeant en favoris de chaque côté de sa tête.

Le cubain est reconnu pour être trapu, il donne donc une impression de force et de solidité. Faisant au moins presque une tête de plus que le canadien, il est assez imposant face aux gens avec sa carrure large et sa grande taille. Il est d’une bonne force physique et endurante même s’il a tendance à faire un peu de bid du à la crème glacé.

Pour ce qui est de son habillement, le cubain a tendance à avoir chaud assez souvent. Alors pour le côté académie : il porte la chemise dont il retrousse les manche jusqu’en haut des coudes ; la cravate pour qu’il ait quand même l’air d’un étudiant ; les pantalons de l’école ; et bien que le temps soit fraie ou non, il porte des sandales en tout temps. Il lui arrive de porter des bas dans ces dites sandales, que voulez-vous, c’est sont petit côté manque de style. Sinon, les jours de congés, il porte des chemises très colorées ornées de multiples dessins tropicaux démontrant constamment un air de fiesta. La moitié du temps il va porter des shorts de couleur uni, alors que la seconde partie il va se promener en pantalons baggie uni, très souvent beige étant une couleur qui lui va bien.

❧ Ça se passe comment dans votre tête ?
Juan est décrit comme étant du type gai et chevaleresque. Il d’habitude joviale (quand il ne rencontre pas l’américain) et facile à s’entendre avec. Même s’il est imposant, il est du genre à être un gros nounours prêt à donner de l’affection à tout moment, mais ça ne le rend pas guimauve pour autant. Il sait se tenir et sait se montrer fort. Droit et directe, ses paroles sonnent parfois sec et dictateurs comme le dirigeant de son pays.

Cuba croit en quelque chose, mais il n’est en aucun cas pratiquant. Il croit en la Santeria, une religion originaire des Caraïbes qui est un mélange d’influences d’origine africaines.

Le jeune sud américain aime beaucoup la musique et pratique même les percussions. N’ayant pas l’air de cela, il est aussi très bon danseur : il connaît le mambo, le cha-cha-cha, le boléro, la timba (proche de la salsa), le reggaeton et la rumba congolaise. Son oreille s’étant aussi prit d’affection envers le jazz afro-cubain, il aime les musiques où l’ont peut danser dessus tout en gardant un bon rythme du sud.

Grand buveur, il boit exclusivement du rhum. Cette boisson étant des moins chère dans son pays d’origine, il a prit l’habitude de ne boire que cette eau-de-vie brûlante fait à partir de canne à sucre. Accompagnant son amour pour la boisson, il est aussi un grand fumeur, principalement de cigares, bien évidemment cubains. Ces préférés sont les Habanos et les Cohiba.

Il a aussi un faible pour les vieilles voitures américaines, seules choses qu’il aime de ce pays. Les vieux bazous qui font un bruit de tondeuse à chaque fois qu’elles partent, il devient gaga devant une telle merveille.

Pour finir, il n’est pas du genre à aimer les films. Ça l’endors assez vite et n’y voit aucun plaisir à s’asseoir devant un écran à rien faire que de regarder une image mouvante et bruyante. Ce qu’il l’amène par la même occasion à ne pas vraiment aimer les ordinateurs et ce genre de truc électroniques. Il a un cellulaire certes, mais il est encore au dinosaure où il n’y a pas d’écran tactile ni à texte, seulement les chiffres pour composer un numéro. Alors si vous lui envoyez un texto, attendez-vous à ce que ça prenne un certain temps avant de recevoir la réponse.

Il n’est pas du genre violent, mais faut pas aller l’emmerder, il a la mèche assez courte. De toute façon, comme si quelqu’un de sain d’esprit allait emmerder quelqu’un de 6’2 » aussi large qu’une armoire à glace, moi non merci.

❧ Clubs dont vous faites partie:
Ce charmant garçon fait partie du club de danse…et doit être le seul mâle à occuper les locaux.

Test Rp

Il n’avait jamais sortie de son pays, il trouvait que l’académie n’était pas sur une île pas très différente de la sienne, excepté pour la grande et gigantesque académie se trouvant devant ses yeux. Elle était immense, encore plus grande qu’il ne l’avait imaginé. Un sourire traversa ses lèvres alors qu’il foula le sol de l’académie en compagnie des autres nouveaux élèves qui seraient dans quelques années des futurs pays. Vêtu de son costume d’école, ses manches étaient déjà à roulé et avant de rentrer dans l’enceinte de l’école, il éteignit son cigare. Quand même, il voulait faire bonne impression pour la première journée, surtout si le canadien de l’école était de la même promotion que lui. C’est d’un pas assuré et joviale que Cuba entra dans sa toute nouvelle vie.

VOUS ! Oui, vous !

Surnom : You may call me Knuckie-Mush !
Âge : Ah-aaaaaah ! 8D
Comment vous avez connu le forum ? Like most of the people, by someone else.
Des commentaires ? Para bailar la bamba~
Et pour finir, le fameux code secret ! Pour prouver que vous avez lu les règlements et le contexte vous trouverez le code en rouge et noir. {re-validé par PNJ}

Voilà! Finito!!! 8D

Dès que Cuba aura changer de nom pour Canada, tu pourra changer ton nom pour Cuba.

~~République de Cuba c'est trop long~~

C'est bon merci 8D

Fiche impeccable (et superbe avatar !!!)

Juste une petite chose concernant le code : ne le remets pas une troisième fois ^^""" Laisse la telle quelle, avec la mention de validation en vert.

Validé avec joie donc, et bienvenue parmi nous !! Very Happy

Ah, oui : Cuba a modifié son nom en Canada, tu peux donc à ton tour modifier le nom de ton compte dans ton profil ^^