Lituanie
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 |  Sujet: Juste Lituanie.  Dim 24 Juil - 11:49 | |
| Au premier coup d’oeil✯ Nom : Lorinaitis, Toris✯ Surnoms : Lieeeeeeeeeeeeeeet au pied !✯ Âge : 16 ans✯ Sexe : asexué ....sans opinion .... masculin.✯ Anniversaire : 16 février.✯ Orientation Sexuelle : Orientation quoi… ?✯ Aile : ✯ Niveau Scolaire : High {Personnages de 15, 16, 17 ans }❧ Pays que vous représentez : République de Lituanie
❧ Langues que vous parlez : En toute logique, le lituanien, langue utile s'il en est. Également des notions de polonais du fait que la capitale de la Lituanie est peuplée essentiellement de polonais. Et un anglais correct dans l'ensemble.
❧ Histoire du pays que vous représentez :
Déjà mille ans d'Histoire !
S'il faut retenir une chose et une seule au sujet de la Lituanie, c'est que rares sont les pays qui sont montés aussi haut pour ensuite descendre aussi bas.
Voyons plutôt.
L'encart historico-soporifique, plus couramment appelé la partie un peu chiante.
La Lituanie, qui a égaré son H d'origine au fil des ans, est née au tout début du XIè siècle. Encore toute jeune, elle devient un Grand-Duché, statut qu'elle gardera longtemps.
Son Histoire est indissociable de celle de la Pologne, car à partir du XIVè siècle, leur évolution est commune. Un traité entre la Lituanie et la Pologne, l'Union de Krewo, marque le début d'une longue, loooongue collaboration, mais il faudra attendre encore un peu plus d'un siècle pour que soit signé le traité de Lublin, qui unit les deux pays et vise à les fusionner.
C'est la naissance de l'État Polono-Lituanien, qui couvre alors un territoire immense (niek niek), s'étendant sur les actuels Lettonie et Biélorussie, sans oublier de déborder joyeusement sur les actuels Ukraine et Russie, car si la Pologne est à cette époque un royaume colossal, la Lituanie a également connu une très importante période d'expansion, toute seule, comme une grande. C'est donc une puissance considérable qui est issue de cette judicieuse alliance, dont le mot d'ordre était alors Liberté - oui c'est discutable, mais tout est discutable en ce bas monde.
Il est vrai que la Pologne, après avoir imposé ses dogmes religieux, imposa également son idiome et son système politique à l'ensemble de la République des Deux Nations... C'est à dire à la Lituanie, en fait...
Jusqu'au XVIIè siècle compris, la République est guerrière. A ses démarches de colonisation s'ajoute la nécessité de défense, car elle est assaillie par la Russie et la Suède, puis, bientôt, par des luttes intestines qui dégénérèrent en guerre civile. Au siècle suivant, la Prusse s'ajoute à la Russie qui n'a pas encore lâché le bifteck (c'est tenace les bestioles-là). A partir de la fin du XVIIIè siècle, ils annexent et se partagent la République polono-lituanienne. L'Autriche est, à cette époque, sur le point de déclarer la guerre à la Russie ; elle se voit alors remettre une partie de la Pologne, et, en échange, renonce au conflit. Il y aura en tout trois partages (lesquels seront baptisés "Partages de la Pologne", ce qui peut nous laisser rêveurs). La Russie récupère successivement de nombreuses provinces lituaniennes, dont les territoires de l'est, l'intégralité de la Biélorussie et la partie lituanienne de l'Ukraine. Lors du dernier partage, en 1795, c'est la Lituanie elle-même qui est intégrée à l'Empire Russe.
La Lituanie demeure un territoire russe durant un peu plus d'un siècle ; c'est une période assez noire, où le joug russe se fait lourd et répressif. La culture lituanienne est étouffée et remplacée (ce n'est pas bien grave, elle avait déjà l'habitude avec la Pologne).
Cette période s'achève par une première déclaration d'indépendance lituanienne, qui se voit confirmée au terme de la première guerre mondiale, mais, surtout, qui marque le début d'une formidable partie de ping-pong.
Accrochez-vous, ça va aller très vite.
La Pologne revient à la charge et investit une partie de la République de Lituanie, république qui devient par la suite une dictature, jusqu'à ce que le territoire soit occupé par l'URSS, puis par l'Allemagne, puis par les deux (vous suivez toujours ?) à l'occasion de quoi l'URSS lâche prise pour mieux revenir avec l'appui de l'Allemagne. Cela ne dure pas, la seconde guerre mondiale bat son plein ; l'Allemagne elle-même s'installe. Elle ne reste pas longtemps, sa défaite est proche ; l'URSS récupère la Lituanie et l'occupe à nouveau. (courage c'est bientôt fini). Le temps pour celle-ci de se remettre de ses émotions, et voilà qu'elle tente (candidement ?) à nouveau de déclarer son indépendance. S'ensuit un retour de flamme de l'URSS, qui néanmoins finit par se retirer, laissant place à la République Lituanienne (-bis). Ouf.
Voilà à présent, une idée plus précise de l'histoire de Lituanie, qu'on aurait pu, vous en conviendrez, résumer par : "Vous pouvez tous arrêter de m'embêter, s'il vous plaît ?"
Pauvre Lituanie, son passé est bien violent pour un petit pays si tranquille, qui a certes occupé de très grands territoires, mais c'est une période qui remonte extrêmement loin, dans les confins d'un passé qu'il vaut mieux considérer comme définitivement enterré.
❧ Histoire Personnelle :
Au Commencement était le Verbe.
Et le Verbe était grandir. Non, non, ni trembler, ni chouiner, ni balayer.
Donc, grandir. Parce qu'au début, bien sur, Lituanie était tout petit. D'ailleurs, à ce moment, il ne s'appelait pas du tout Lituanie, mais juste Toris. Et Toris est né en périphérie de Vilnius, la capitale. Toris est né dans un pays qui malgré (ou 'à cause de') une loooongue Histoire, peine à (re?) forger son identité, et se pose globalement, volontiers en victime. Enfant, le loulou n'était pas tellement en adéquation avec ce fait. D'ailleurs, c'est fooollement passionnant, n'est ce pas, mais revenons-en au sujet. N'ayant pas grandi dans Vilnius intra-muros, il n'a pas été familier de la culture polonaise qui prédomine dans la capitale (oui, c est un fait étrange, mais c'est un fait, en Lituanie, pour baigner dans la culture lituanienne, faut éviter la capitale), et, bref, vécut ses première années de la façon la plus banale qui soit. Oui, forcément, on commence comme ça, c'est pas vendeur. Sauf que que j'ai pas de drames déchirants et de chocs mentaux/physiques violents à vous servir ; déjà, petit, Toris n'était pas particulièrement timoré. Complaisant oui, serviable et avenant oui, mais ni plus ni moins peureux et/ou introverti que les autres mouflets. Donc, pas de tabassages rituels au square du coin, pas de trauma d'enfermement dans les toilettes dans les petites classes, ni même la moindre petite morsure de roquet enragé (ça, ça viendra plus tard, avec un roquet qui mord et qui lâche pas). Ensuite, pas de déchirures familiales ; il est venu au monde dans une famille des plus classiques et sans squelettes dans le placard, se situant dans la classe moyenne ; bien que, pour information, la 'classe moyenne' en Lituanie, c'est le seuil de la pauvreté dans la plupart des pays européens.
Alors, le pioupiou était un enfant unique, ce qui ne réussit pas forcément à tout le monde. Mais dans son cas, pas de répercussions malheureuses, déjà parce qu'il était doté d'un caracère particulièrement placide, ensuite parce qu'enfant unique ne veut pas dire enfant-roi, hein.
Pour autant, ce n'était pas un môme solitaire ; certes il était déjà réservé, mais tout petit déjà, il aimait beaucoup l'école car il appréciait réellement la compagnie des autres enfants - on nota d'ailleurs une propension précoce à veiller sur les autres, attentionné à l'extrême, tellement motivé à rendre service qu'il en confinait à la poire, ouaip, Toris, c'était toujours celui qui retrouvait les gants perdus - quitte à les chercher deux heures et demie. Toujours celui qui allait chercher le ballon expédié trop loin - même si c'était dans le jardin de la mégère locale. Toujours celui qui cherchait les autres à cache-cache - même si les autres décidaient soudainement de rentrer chez eux pendant qu'il comptait. Et c'était toujours celui qui était puni aussi, parce que c'était si facile de le persuader qu'indirectement c'était DE SA FAUTE si la vitre avait été cassée / le vase était tombé / le livre avait été déchiré / la moquette avait été inondée / insérez ici n'importe quelle connerie du genre. La sur-capacité de Toris à culpabiliser ne date pas d'hier, et, en réalité, c'est si facile que c'en est presque barbant.
A vrai dire, au cours de toute son enfance, le seul détail qui eut pu laisser envisager qu'il puisse être rattaché d'une façon si spéciale à son pays fut son incapacité absolue à passer les frontières. A chaque voyage scolaire ou familial, dès qu'il s'agissait de se rendre à l'étranger pour un court séjour dans l'un des pays voisins, il tombait immanquablement malade. Bonus gagnant pour la crise d'appendicite la veille du départ pour la Russie. Moralité, jusqu'à ses douze ans, Toris n'avait jamais mis les pieds en dehors de Lituanie. Mais les gamins sont souvent malades, et personne n'aurait pensé une seconde à rattacher cette succession de faits à l'incroyable chauvinisme national. Le tout passa tranquillement inaperçu, jusqu'à sa douzième année, et, précisément, jusqu'à l'arrivée de LA lettre en provenance des États-Unis. Il est à noter qu'il fut proche de ne pas s'envoler pour l'autre bout du monde : quoi de moins crédible pour un être aussi pétri d'humilité que de se voir désigner comme potentiel futur représentant de tout le pays ? Pour autant, il fallut se rendre à l'évidence et admettre que l'affaire était tout à fait sérieuse.
Ainsi donc, à l'âge de douze ans, Toris intégra l'académie.
La première année fut longue et difficile. Dépaysement, barrière de la langue et esseulement s'ajoutèrent à l'adaptation au quotidien d'une scolarité d'un autre genre, dans un pays aux moeurs choquantes, en internat, et par dessus le marché, dans la promiscuité d'un dortoir. Lequel abritait entre autres le pire des croquemitaines imaginables. Et pourtant, Dieu sait que ce sourire enfantin laissait présager une jovialité sympathique - l'illusion ne dure jamais longtemps avec Russie. On glissera sur cette première année somme toute catastrophique, que Toris préfère se remémorer comme étant l'année de sa vie où il a été le plus occupé. Parce que certes, il se noya absolument dans les cours pour (se) prouver qu'il était quand même digne d'être là, mais le reste de son temps fut employé à raser les murs pour courir d'une activité à l'autre.
Au cours de cette première année, Toris développa deux principales capacités. La première, ce fut l'option vibreur. La seconde, eh bien... Tout seul, qu'il était, le malheureux. Sans personne sur qui veiller, puisqu'il n'y avait finalement que des gens plus âgés qui avaient autant besoin d'être assistés que d'un ver dans une pomme, ou alors des gens de son âge qui faisaient très bien leur vie sans aide. Mais, on le sait, Toris a vraiment besoin de se rendre utile. Alors, il se mit à ranger la salle principale de l'aile. Et puis le dortoir. Et puis carrément les affaires des autres. Et ensuite, il monta de niveau en recélant un balai dans l'Aile. Puis une serpillère. L'aile slave/balte n'est peut-être pas l'aile la plus riche de l'académie, mais, Toris vous l'assure, c'est la plus propre. Question d'honneur, hein.
La seconde année fut marquée par une flopée d'arrivées interessantes. A croire qu'il débarquait un an trop tôt.
Pour commencer, eh bah le loulou, il crut rêêêêver lorsqu'il vit débarquer la plus beeeelle, la plus maaaaagnifique créature que la terre aie porté. Nan, pas un aspirateur sans sac, bande de niants. Ah, Biélorussie. Qu'est ce qu'elle est belle..!! Non, elle n'est pas psychopathe, elle est juste très entière et très spontanée. Non, elle n'est pas glaciale, elle est juste un peu réservée. Non, elle n'est pas brutale et associale, elle est... Bon, c'est pas fini, oui, de critiquer Natalia ?! Une jeune dame aussi jolie ne peut pas être mauvaise. Inutile aussi de lui faire savoir qu'elle le remarque à peu près autant qu'une caillasse dans le Grand Canyon, il le sait très bien, et puis d'ailleurs, il trouve ça normal, hein, vu que Natalia, elle est tellement parfaite, et lui pas. Et puis, c'est tellement mignon, la façon dont elle est attachée à son frère. D'ailleurs, si elle l'aime tellement, c'est qu'il a peut-être des bons côtés cachés - mais bien cachés.
Et puis Estonie, un voisin de la côte baltique qui passa d'ailleurs les six premiers mois mortifié à répéter comme un mantra qu'ils s'étaient trompés dans son affectation, qu'il devrait être dans l'aile nordique, très calme et très posé, féru d'informatique ; mais même si Toris n'entendait rien à cette discipline, il éprouva d'entrée une franche sympathie envers l'estonien, tout comme il en éprouverait d'entrée pour le minuscule petit letton adorateur de littérature, qui se devait se faire attendre encore un an. Sa relation avec Lettonie est d'ailleurs probablement un petit peu plus étroite, tout comme Estonie est probablement plus proche du petit bonhomme que de lui.
Moins discret et moins calme, plus fatigant mais -presque- tout aussi sympathique - certainement dû au fait qu'il se trouvait dans une autre aile, le jeune et bondissant futur représentants local, Amérique. Un garçon très gentil, vous dira-t-il.
Mais la liste ne serait pas complète sans le phénomène capable de faire passer USA pour un gars dans le coma. L'incarnation humaine de l'antre de la folie. L'équivalent de l'énorme mouche bleue qui tourne autour de la table en faisant un BZZZ digne du bang d'un avion supersonique. La onzième plaie d'Egypte même si Egypte n'a rien à voir dans l'histoire. Pologne, le seul croisement réussi entre un être humain et un buzzer. Et encore, c'est pas le buzzer qui se la ramène seulement quand on appuie dessus, hein. Non, celui là, il te suit, il te colle, il te poursuit même dans tes rêves. Il fait connerie sur connerie. Il réfléchit une fois par an, et c'est pour dire ce qu'il veut pour son anniversaire. On ne parle même pas de prévention ou de prudence, c'est pas dans son vocabulaire. Il est dénué de tout pragmatisme, de toute patience, et son sens de l'organisation, s'il existe, ne se manifeste que pour déterminer dans quel ordre il va déclencher ses catastrophes. Il a le tact d'un bulldozer et la délicatesse d'un Panzerfaust. Et c'est pas tout. Il est encore plus tyrannique qu'un vieux siamois, encore plus bruyant qu'un singe hurleur, encore plus mégalo qu'une starlette de télé-réalité, encore plus envahissant et indélogeable qu'une colonie de cafards, encore plus chronophage que Youtube.
Mais il est aussi tellement afffectueux, tellement sincère et il a tellement besoin qu'on s'occupe de lui, que, vraiment, on ne peut que s'y attacher... Non ?
❧ Vous avez l’air de quoi ?
Nous préciserons d'entrée un point qui a son importance et se trouve être indiscutable tant du point de vue global que celui de ce pauvre Lituanie : son allure, qu'elle soit générale ou observée d'une façon plus fractionnée, n'est NI androgyne, NI ambiguë. Que les instances supérieures des lieux me permettent d'exposer plus trivialement ce fait afin de l'ancrer en des sphères qui seront plus familières à mes propres yeux : nan, clairement, il ressemble PAS à une pépette.
Donc après cet infâme blabla portant sur ce de quoi il n'a pas l'air, il convient de s'atteler à développer ce de quoi il a l'air, donc. Allons-y. Pour autant qu'on puisse y aller, car pour être honnête, l'allure de Lituanie, il n'y a pas de quoi se rouler par terre dans les deux sens. C'est vraiment le type qui ressemble à tout le monde, qui n'a rien de particulièrement accrocheur. C'est le gars qu'on croise et qu'on oublie cinq secondes après. Oh, à un point près, évidemment, parce que, voyez vous, le Toris, il est brun. Voui. Une chevelure brune qui n'est pas l'objet de grandes attentions, et dont les mèches retombent un peu à la va-comme-j'te-pousse, en une vague anarchie qu'on peut d'ailleurs saluer comme étant la seule dans la globalité du bonhomme. Mais. Au milieu d'un troupeau composé à 80% de gugusses présentant toutes les variétés de blonds, si si je vous jure, ça se démarque.
Pour le reste, eh bien, on y revient : c'est quelqu'un de tout à fait classique, voire peut-être même, diront les méchants, légèrement incolore comparé à d'autres, et tout peut alors s'évaluer à grand renfort de 'moyen'. Il est d'une taille moyenne, d'une stature moyenne, d'une teinte de peau moyenne, son visage est d'un ovale tout à fait lambda, souvent souriant, même si parfois le sourire est vraiment juste là pour la forme. Il convient d'ailleurs de ne pas trop s'y fier pour déterminer son humeur, parce qu'il s'en colle un sur la bouche dès qu'il y pense. Par ailleurs, sur ce visage, une incroyable propension à passer d'une couleur humaine à un blanc crayeux, jusqu'au rouge le plus vif, en passant par le verdâtre brocoli-trop-cuit. Il est émotif, ce petit, ce sera à voir ultérieurement.
Peut-être noterons-nous le regard, qui se présente comme très expressif. Sur les prunelles aussi, une diphtongue de couleur en comparaison des voisins ; il fait dans le vert. Mais au delà de cette couleur, c'est surtout par le regard qu'on peut se faire une première impression du specimen. Lituanie a ouvertement les yeux du gars qui débarque tout juste de l'île aux enfants, le joyeux pays des monstres gentils. Oh, le joli papillon. Poursuivons (la description, pas le papillon.)
D'un point de vue vestimentaire, Lituanie est de ceux pour qui on pourrait se réjouir de l'existence d'un uniforme au sein de l'académie. Parce que les fringues civiles du loulou, c'est pas vraiment son atout principal. Tant que c'est solide et discret, il est content, tant pis si c'est pas classe.
De toute façon, lorsqu'on a vu son drapeau, il est permis de soupçonner Toris d'être soit complètement daltonien, soit dépourvu du moindre goût en matière d'associations de couleurs.
Concernant les rares particularités physiques du bonhomme, on peut mentionner que son dos a bien des misères, et peut en gros se résumer à un champ de bataille particulièrement inesthétique. Cependant, il s'agit d'un point hors la vue. Les marques et cicatrices qu'il y traîne sont moches. Et comme Toris a à coeur de ne surtout jamais déranger personne, eh bien il cache soigneusement ce qui est moche. Et puis, dites, hein, on a sa fierté, quand même, quelque part.
Autre point, un peu plus voyant : il a l'option vibreur. Ni besoin de secteur, ni besoin de pile, ça marche tout seul, c'est une exclusivité balte. Si le vibreur présente des signes de fatigue, il est possible de recharger la batterie avec un kolkol, voire avec un genretotalement.
Une petite note subsidiaire sur ses inclinations. Générales tout d'abord. Ce qu'il apprécie... Oui, bon. Se rendre utile, ça, on sait. Mais il a également des inclinations personnelles, si, si. Elles le portent davantage vers des activités paisibles : il apprécie beaucoup la lecture, par exemple, de préférence quand personne ne hurle juste à côté.
On ajoute que Lituanie est de confession catholique. Par ailleurs, il fait collection de croix aussi, ouaip. Même que chez lui, il a une colline qui en est couverte. S'il aime bien cuisiner et tenter n'importe quelle recette, en revanche, il ne mange pas n'importe quoi. Si ce n'est pas hyper lourd et/ou hyper gras, ça manque forcément de quelque chose. Il peut lui arriver aussi... souvent... de boire de l'alcool, mais il faut savoir qu'il est probablement le seul à pouvoir absorber la bière made in chez lui sans produire d'atroces grimaces de dégoût.
Côté social, Lituanie aime bien les gens en général, aussi. Avec une préférence pour les personnes calmes et souriantes. Il a le contact assez facile. Malheureusement pour lui, il est pas très populaire, le petit. Trop effacé, certainement.
Plus pragmatique : Toris aime bien les choses organisées et pratiques. Il est lui-même organisé et pratique. Lituanie vous recommande le savon de Marseille, très efficace sur les surfaces. En cas de calcaire, rien ne vaut le vinaigre blanc.
A noter : Tremble. Vibre. A mal à l'estomac. Re-tremble. chouine. Re-vibre. Arbore des sourires crispés. A de nouveau mal à l'estomac. Occasionnellement, a mal à la tête, aussi.
Concernant les gouts d'un point de vue plus personnel. D'ailleurs, en quoi ça vous regarde, hein ?! Bon, bref. Oulala. A priori, il est plutôt porté sur les dames, surtout les blondes à légère tendance psychotique. Après, il est tellement pas contrariant que pfou..... allez savoir. A préciser quand même qu'il ne peut pas, de toute façon, être très à l'aise face à l'homosexualité au grand jour ouverte et assumée. Pas du tout gay-friendly, comme pays.
❧ Ça se passe comment dans votre tête ?
Qu'il est gentil, Toris. Très gentil, trop gentil. Ah, c'est une qualité ? Ouais, certainement. Mais pas tellement pour lui-même, en fait... Regardons les choses en face, ça ne lui réussit pas vraiment. De nature profondément bienveillante et serviable, son truc à lui, c'est de s'occuper des autres, au point que cela confine au besoin vital. C'est un altruiste absolu, prêt à n'importe quoi pour se rendre utile, aider, ou simplement faire plaisir, dans la plus pure sincérité. Parce que s'il est effectivement dévoué, c'est de manière globale et franche. De même, si on lui accorde confiance, il fera tout pour l'honorer. Le problème, c'est qu'il est influençable et également affable, pour ne pas dire carrément docile. Lorsqu'on ajoute à cela une nature réservée et de grandes difficultés à dire non, comme c'est le cas pour lui, eh bien... il a vite fait de se laisser rouler dessus, le loulou.
Dans le même ordre d'esprit, il ne s'offusque quasiment jamais. Ce n'est pas qu'il n'y a rien qui le heurte, c'est un peu qu'il est trop doux - ou trop mou, au choix - pour ça, mais c'est surtout parce que Toris arrive à concilier au quotidien un pessimisme à toute épreuve et la faculté de ne jamais voir le mal nulle part. C'est pas extraordinaire, ça ? Bref, dans les faits... qu'on lui tapote la tête - brave bête, va - il ne sourcillera même pas. S'il est en mode poire à l'extrême, il est même capable de remercier. En soi, Lituanie, c'est ce qu'on appelle un type bien, mais il est affligé d'un solide manque d'assurance.
Le contact avec lui est assez facile, même s'il est, comme dit ci-dessus, très réservé, plutôt introverti. Le fait est que, malgré cette réserve, il est sociable, il fait des risettes à n'en plus pouvoir, même quand ça jure avec la bouille des grands jours de déprime aiguë. On le redit, il aime les gens, et quand il s'attache, c'est de façon pure, vraie et paisible - avec quand même une préférence pour ceux qui ne le martyrisent pas, hein, c'est toujours plus sympa. Mais, paradoxe, Toris ne dissimule pas grand chose. Ce qu'il est au premier abord, c'est ce qu'il est fondamentalement : quelqu'un d'extrêmement doux et patient, très complaisant, mais aussi immensément anxieux. Il stresse beaucoup, souvent, pour pas grand chose, sûrement, au point de frôler la névrose d'angoisse - même si la plupart du temps, il trouve moyen d'en identifier la cause.
Toutefois, il conviendrait quand même de ne pas le prendre pour plus con qu'il n'est. Il s'agit d'une personnalité impressionnable, certes, mais il réfléchit, malgré tout. Ce n'est pas parce qu'il dit amen qu'il est d'accord. Oui, bon, ok, la plupart du temps, il dit amen quand même, justement. Mais qui sait, peut-être qu'un jour, il finira par ruer dans les brancards.... ou pas....
Voilà pour la dimension sociale. Pour le reste, on peut mentionner qu'il s'agit de quelqu'un de très rigoureux, un gros bosseur. En dehors de toute forme d'élément stressant, il est plutôt posé, assez paisible. C'est vrai qu'il a ce côté très négatif - une bonne tendance à l'autodépréciation à prévoir, en passant - mais il est capable d'apprécier un vaste panel de petites choses anodines, moins anodines, ou carrément peu appréciables par essence. C'est Toris, quoi, cuicui les p'tits zoizo.
❧ Clubs dont vous faites partie: - Aussi long et éprouvant qu'aie été le voyage, pour une fois, Lituanie avait oublié sa légère tendance au pessimisme, et sa vive propension à s'émerveiller s'était exacerbée. L'avion, quoi. C'était la première fois qu'il prenait l'avion ! Bon, évidemment, un voyage plus court aurait été une première fois moins crevante, mais peu importait : il s'était muni d'une demi-douzaine de bouquins normalement destinés aux touristes prévoyants, afin de savoir à quoi s'attendre à l'arrivée. Tout allait être si différent ! Le climat, les gens, le paysage, les... Tiens, chapitre 5, la nourriture locale... Eh ? Ils ont des recettes qui ne sont pas à base de pommes de terre ? Oh, ben, c'est dépaysant, ça ! Chapitre 12, la bienséance et le savoir-vivre locaux. Eh ? Ça tient sur trois lignes, ils ont dû faire une erreur...
Bref, le lituanien, il est paré à la survie en milieu américain. Du moins, c'est ce qu'il croyait jusqu'à l'arrivée...
Ouais. Sauf que. Le guide du routard, il ne cause pas de l'académie, et, de fait, il ne prévient pas que l'établissement est écrsant d'un luxe humiliant, que la communication est pas facile quand on maîtrise pas bien la langue commune et qu'on a un accent à coucher dehors, qu'on y croise des couples qui s'embrassent à pleine bouche en public, que des fois même, ce sont deux garçons, mondieumondieu, et qu'il y a des gens vraiment très, très effrayants là où on s'y attend le moins.
Courage, plus que neuf ans. VOUS ! Oui, vous !Surnom : Alrisha
Âge : L'âge est une donnée tout à fait relative *crachote son dentier*
Comment vous avez connu le forum ? J'ai fait.............. un décalage à l'est.
Des commentaires ? TRANS-MU-TA-TIOOOON *effets visuels de lumières*
Et pour finir, le fameux code secret ! [AutoValiday par PNJ *shot*]
Dernière édition par Lituanie le Dim 24 Juil - 20:55, édité 5 fois | |
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