Alt for Norge

❧ Histoire Personnelle : Eidsvoll oath: Enig og tro til Dovre faller

Je suis née en Norvège. Mon enfance a été des plus normale, élevée en campagne, aimé de mes parents. Comme toute bonne famille Norvégienne, nous avions un chalet dans les montagnes où nous allions passer les vacances et la majorité des fins de semaines. J’ai été élevé seul pendant les quatre premières années de ma vie. En gros ma famille était pauvre. Mon père était pêcheur, ma mère travaillait dans un bureau. On vivait dans une petite maison, dans un petit village. On état heureux, jusqu'à ce que la maladie frappe. J'ai passé au moins un an au lit, affaiblit par la fièvre. J’avais attrapé une rougeole, mais pour une raison qu’on ne connaît toujours pas, j’ai eu de graves complications. Je m'en ai suis remis de justesse et on peut apercevoir des cicatrice dans mon dos comme un témoignage dans ma chaire. À mes quatre ans, la famille eut le plaisir d’accueillir un nouveau venu. Là, tout à changer. Mon petit frère. Quelqu'un à protéger, à prendre soin. Vous pouvez dire tout ce que vous voulez sur moi mais ne dites JAMAIS de mal de mon petit frère. Mon meilleur ami, mon seul compagnon, nous étions inséparable. J’adorais promener mon petit frère dans une luge, je l’ai aidé à faire ses premiers pas, on faisaient du ski ensemble.

Un autre évènement vint semer le chaos dans ma vie, à 7 ans mon père a gagna à la loto un énorme montant d'argent. Notre niveau de vie a considérablement augmenté, mais c’est là aussi que les disputes commencèrent. Au bout de quelques mois, maman partit de la maison avec mon petit frère. Elle partit sur une île, laissant papa et moi seul en Norvège. Les choses se mirent à aller de mal en pis. J’ai été oublié, battu, maltraité, mal nourrit. Et plus les années avançaient, plus je me renfermais, devenant peu à peu ce que je suis. À dix ans, mon père décida qu’il ne voulait plus de moi et il m’envoya chez un oncle en Suède. Là-bas on me traita un peu mieux, mais les dommages étaient déjà faits. Je parlais à peine, je détestait qu’on me touche et je fuyais la présence des humains. J'aimais mieux la forêt, calme et apaisante. Une petite partie de moi, encore innocente, s'imaginait des amis fées et trolls lors de mes grandes journées passé à jouer dans le bois.


Quand on m’annonça que je devais quitter pour les États-Unis, j’ai refusé calmement et je me suis enfuit durant nuit, alors que tout le monde dormais. J’ai passé une semaine dans la forêt, à me cacher et à survivre. Quand mon oncle m’attrapa, je fus expédié illico presto sur l’île. Les premières semaines là-bas furent infernales. D’abord le dortoir. Trop de gens, trop près de moi. Ensuite l’île n’avait presque pas d’arbres. Pas de belles et grandes forêts comme à la maison. Et pour finir : le Danois. Si je pouvais tuer ne serait-ce qu’une personne sur cette planète, ce serait bien ce grand imbécile blond au sourire idiot. Heureusement, quelques années plus tard mon petit frère joigna les rangs de l’Académie.


❧ Vous avez l’air de quoi ?

Norge a la peau blanche, très pâle, on la compare souvent à de la porcelaine. Elle est douce au toucher mais pas parfaite. Le dos du scandinave est couvert de cicatrice à cause de la maladie qui l’a affecté lorsqu’il était jeune. Il est svelte, délicat dans ses manières, habile de ses mains, mais pas fragile. Il sait très bien comment bien placer un coup de pied ou un coup de poing pour que ça fasse mal. Comme il n’a pas une force brute, il compense en visant les points sensible ou vitaux. Un coup, rapide et efficace, c’est comme ça que le Norvégien se bat. Lukas est un peu plus grand que Finlande, mais plus petit que Denmark, faisant de lui celui au milieu côté taille chez les Scandinave. Les yeux d'un mauve foncé curieux, profonds, froid et sans émotions sont fixe et n’expriment rien en permanence. Comme tout les Nordiques, il a les cheveux blond pâle semi-longs, avec une frange qui est retenue par une broche en forme de croix. Le visage du Scandinave semble être figé dans un éternel masque de froideur et d'indifférence.

❧ Ça se passe comment dans votre tête ?

Lukas parle peu. Quand il le fait cependant, ses mots sont cinglants, vrai et sans pitié. D’une intelligence redoutable, le blond pèse le peu de mots qu’il dit. Le scandinave déteste le sentiment d’infériorité, il se rattrape donc face au grand Danois en lui lançant ses répliques les plus cinglantes. Sa relation avec le blond n’est pas des plus paradisiaque. Lukas est bien trop orgueilleux pour avouer qu’il aurait peut-être des sentiments envers Søren. Après tout l’amour affaiblit l’homme, brouillant son jugement et son raisonement. Malgré l'inaptitude total du Danois à saisir les nombreuses pointes faites dans sa direction, le Norvégien ne cesse jamais de le rabaisser, le frapper et rire de lui.

Personne ou presque ne peut clamer avoir vu un sourire sur les lèvres de Lukas. Le blond semble posséder une réserve infini de patience. Le seul qui semble pourvoir l’énerver, c’est Søren. Et encore, il faut regarder de près pendant que le Norvégien le frappe pour distinguer un léger crispement dans la joue gauche, seul signe visible montrant qu’il est en colère. Le reste du temps, un air détachée et froid flotte autour de lui. Lukas a très peu d’amis. Il se tient avec les Nordique et c’est à peu près tout. Les rares choses qui l’intéressent sont la sculpture dans le bois, jouer du violon et les légendes Scandinave.

Ce n’est pas parce que le petit blond est silencieux qu’il est sage. Tel les rivières qui parcourent les Fjords de son pays, Lukas a un esprit indomptable. Il n’écoute et ne rend de comptes à personne. Indépendant, il déteste avoir à demander de l’aide. Le blond a une grande libido et il ne se gêne pas pour la satisfaire. Peu importe avec qui, il ne s’attache pas émotionnellement aux gens.


❧ Clubs dont vous faites partie: Club de Magie.