Quality time zwischen Brüdern [Allemagne]

La pluie battait contre les fenêtres de l'académie. Pour lui, le temps aurait été propice à aller dans la serre, mais avec toute cette pluie, il n'avait pas trop envi de sortir dehors. Il se dit donc que ça faisait très longtemps qu'il avait passé du temps avec son frère. Bien sur il le voyait lorsqu'ils étaient tout deux dans le dortoir le matin avant de commencer l'école, et le soir pour dormir. Ce qui ne laissait pas beaucoup d'option pour discuter ou passer du temps de qualité ensemble. Comme iil adorait son petit frère, il ne voyait donc aucun inconvénient à passer du temps avec lui, surtout que là, c'était lui qui enclenchait le mouvement.

Ses pas menant donc vers le premier endroit où son frère était sujet à être: Le Journal étudiant. Il s'étira, se demandant ce qu'il pourrait bien faire avec Ludwig. Gilbert allait surement improviser comme d'habitude, c'était une de ses grandes qualités que de faire des choses à l'improviste, quoique ses plans ne marchaient pas toujours comme prévu, mais la majorité du temps, ses tactiques se voyaient porter fruit.

Arrivé à la salle du journal, il ne prit même pas la peine de frapper. Il empoigna la poignée de porte et l'ouvrit en grand fracas, le sourire aux lèvres.

-YO! WEST! Ton awesome big bruder est là!

Ludwig regardait les gouttes s'écraser contre la vitre.
Un temps de chien. Il avait bien choisit son moment pour rester finir un article quelconque. Cette activité calme et d'intérieur lui évitait d'affronter le mauvais temps. Mais en même temps, ça l'empêchait d'aller courir, ou pratiquer quoique ce soit comme sport. Et l'ennuie le guettais.

Ploc, ploc.
Le doux bruit de la pluie le berçait, doucement.
Il bailla. Il jeta un coup d'oeil aux alentours, personne. A la vu de cette pièce vide, il se sentit d'un coup, seul, presque abandonné.
Il releva mollement ses lunettes. Son article parlait de quoi, déjà? Il ne s'en souvenait plus. Il n'y avait que lui et la pluie maintenant.

Plic,ploc.
Il ferma les yeux.
Plic, ploc.
Lentement, il se sentait sombré...
Plic, ploc.
Il s'enfonçait un peu plus dans les bras de Morphée..
Plic, Plo-

Un bruit, un claquement le sortit de sa somnolence.
La porte qui s'ouvrait sur une silhouette plus que familière.

-YO! WEST! Ton awesome big bruder est là!

Il sursauta. Pris en flagrant délit. Il se passa une main dans les cheveux, un rien gêné qu'on l'est vu piquer un somme comme une loque.

"Hum, Hallo brüder, je...Je ne m'attendais pas à te voir."

Oooh! Son frère qui faisait la sièste sur du temps de travail?! Il était malade ou quoi? Cette pensé fit ricaner intérieurement Gilbert qui trouvait le fait que Ludwig était en train de dodoter sur ses heures de travail assez amusant, et du fait même avait envi de le narguer à ce sujet.

-Bien sur que nein, lieber Westen, j'ai décidé de te payer une petite visite surprise vu l'état l'amentable dehors.

L'albinos s'assis sur le bord du bureau où son frère somnolait précédement et donc toujours au même endroit. Ses très mauvaises manières faisaient en sorte que se tirer une chaise pour s'assoir ne faisait pas partie de ses principes. Nein! Il adorait les endroits assez inhabituels pour se poser, tel que les coins de bureau ou encore les contoires de cuisines. Regardant les yeux saphirres tout endormie, l'ainé en profita pour ébouriffer les cheveux du plus jeune. Il adorait faire ça, on pourrait dire que c'était un plaisir personnel, un moyen de se dire que cette adolescent rendu si grand était encore son petit frère, ce petit garçon qu'au paravant il avait l'habitude de lire des histoire et de bercer en lui administrant le biberon.

-Serais-tu en train de dormir sur ton travail , lui dit-il d'un sourire en coin en haussant un sourcil, mauvais garçon, on va croire que j'ai trop d'influence sur toi.

Il tenta de reprendre un semblant d'air digne.
Ce genre de chose ne lui arrivais presque jamais.
Ou plutôt, personne ne le voyais faire. Car piqué du nez de cette manière lui arrivais souvent en cas de surmenage.

-Bien sur que nein, lieber Westen, j'ai décidé de te payer une petite visite surprise vu l'état lamentable dehors.
Il regarda de nouveau dehors. Un véritable déluge.
- Merci, ce n'était pas vraiment la peine tu sais...

Son grand frère s'assis sur son bureau, juste devant lui.
Il lui ébouriffa les cheveux avec ce grand sourire carnassier qui le caractérisait.
Parfois, Ludwig se sentait régressé à vue de nez avec lui à ses côté.
Depuis qu'il son petit, il n'avait jamais changé de comportement avec lui. Il le prenait encore pour un gamin.
Est-ce que ça le dérangeait? Pas plus que cela.
Tout le monde comptais toujours sur le grand Allemagne tellement bien sérieux et organisé, qui avait toujours du temps pour vous.
Avec son frère, il lâchait prise par le biais de ce genre de comportement.
Tout de même. Il se recoiffa.

-Serais-tu en train de dormir sur ton travail , lui dit-il d'un sourire en coin en haussant un sourcil, mauvais garçon, on va croire que j'ai trop d'influence sur toi.

Il sourit légèrement.
-Il faut croire que ton "awesomité" déteint sur moi!

-Oooh! Serais-tu en train de me flatter West?

En tout cas ça marchait. L'égo du prussien monta en flèche d'un seul coup, brisant presque le plafond. Ce qu'il aimait bien en son frère c'est qu'il ne déniait jamais le fait que Gilbert était awesome. Jamais il ne le rabaisserait, même qu'il avouait à quel point son grand frère avait une certaine influence sur lui, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Vraiment, il ne se souvient pas s'être un jour chicané avec le plus jeune. Bien sur, il est arrivé que l'albinos tappe sur les nerfs du blond et que celui-ci le remette à sa place, mais ils ne se sont jamais vraiment tombé sur la tomate (ou patate serait plus approprié dans ce cas-ci). Ils ont apprit à bien vivre ensemble, chacun acceptant les défaults de l'autre, rendant leur vie commune beaucoup plus facile que les deux italiens.

En fait, Prussia ne se voyait pas détester son frère. Il l'adorait d'un amour incroyable. Une des raisons était qu'il avait élevé le plus jeune, l'autre est que c'était un des dernières choses que lui avait légué sa défunte mère. Croisant ses jambes sur le bureau, les retenant avec ses mains, il s'adressa au plus jeune.

-Alors West...Quoi de neuf?

Il savait qu'il l'avait flatter.
Il le connaissait assez pour savoir quelle réaction chacune de ses phrases, chacun de ses mots, avait sur son frère. Il considérait le connaître mieux que personne, et cette certitude avais toute les chances d'être vrai.
Et tout autant qu'il gonflait son ego comme on gonfle un simple ballon de baudruche, il était tout autant incapable de piquer ses impressionnantes colères contre lui. Gilbert pourrait le trahir de la plus fourbe des manières qu'il ne dirais pas un mots plus haut que l'autres.
Sa présence l'apaisait, et il en avait toujours était ainsi. Il laissait toujours derrière lui son masque quotidien, fait d'un mélange de sérieux et de distance, pour révéler à lui son vraie visage. Avec lui, il pouvait sourire et rire, chose tellement rare en temps normal.
Parce qu'il savait que son frère ne lui ferait jamais rien. Il savait qu'il ne le lâcherais jamais.
Il avait une total confiance en lui.

Il regarda son grand petit frère assis nonchalamment sur le bureau, comme à son habitude.
"Rien de très neuf...Avec un temps pareil, il n'y a vraiment pas grand choses à faire! J'étais venue finir un article mais...Où je l'ai mis d'ailleurs?!"
Il fouilla brièvement sur son bureau, dans les différentes piles bien classé qui l'ornait.
Il n'y avait définitivement qu'en présence du prussien que ce genre de chose pouvait arriver.

Son frère qui perdait des choses? C'était assez peu fréquent. Le prussien avait toujours connu son frère comme l'une des personnes les plus organisé qu'il connaissait, au contraire de lui-même. Dans le dortoir, l'environnement de Gilbert était un foutoir et le plus jeune était toujours à ramasser les affaires de son frère. On pouvait facilement voir où est-ce que Gil logeait à travers tout les lits bien fait des autres germanique, celui du prussien était particulièrement en désordre. Par moment, quand il revenait le soir, il trouvait une pile de linge propre sur ses couvertes qui par le fait même étaient bien placé sur le lit. C'était des signes qui faisait sourire le prussien à l'idée que son plus jeune frère (ou quelqu'un d'autre, mais bien franchement il ne voyait pas Sissy, Nether ou Suisse faire ça) fasse les corvées du plus vieux à sa place.

Regardant son frère chercher son article, Prussia décida de l'aider, après tout ça ne le tuerait pas de chercher avec son frère. Alors il se jeta de sur le bureau pour atterrir par terre. Peut-être que la feuille a glissé de sur le bureau pour aller se loger en dessous. Il se mit donc à quatre pattes par terre, le visage collé contre le plancher faisant traverser son regard dans les espaces sombre de sous les bureaux.

-Il est peut-être tombé en dessous, mais je vois que dalle.

Il rejeta un coup d'oeil sur son bureau.
Ça lui arrivait tellement rarement de perdre quelque chose! Et ça l'énervait de surcroît. Il détestait le désordre. Ainsi, il ne pouvait s'empêcher de ranger la moindre chose qui traînait. Chaque chose à une place, chaque place à sa chose. Maniaque? Peut-être.
Il se baissa lui aussi, mais au niveau de l'armoire de derrière.
Ludwig cherchait à tâtons en dessous. Il n'était pas impossible qu'elle se soit envolé quand son frère a ouvert, avec une extrême délicatesse, la porte du bureau. Il se baissa, et regarda en dessous.
Et il la vit.
Il tendit la main sous le meuble mais...
Il n'arrivait pas à l'atteindre.
En effet, entre l'armoire et le plancher, il n'y avait qu'un petit espace, à peine assez grand pour y laisser passer une main. Or, l'allemand avait d'assez grandes mains, en écho à sa forte carrure.
Il se retourna, et croisa le regard rougeoyant de son frère.
"Elle est là-dessous, mais je n'arrive pas à l'atteindre! Mes mains sont trop grosses.
Tu pourrais essayer?"

À l'appel de son frère, le prussien tourna sa tête vers celui-ci qui lui indiqua l'endroit où la feuille était tombé. Serte, le blond étant plus imposant, l'albinos n'aurait aucun mal à glisser sa main en dessous de l'armoire. Il se déplaça donc jusqu'à l'endroit en question, ne prenant même pas la peine de se relever (ce qui aurait pu paraître louche de voir un élève se promener à quatre pattes en face de son "sibling"). Se déplaçant donc en mode crabe à quatre pattes, Prussia pencha sa tête en collant sa tempe sur le sol pour regarder en dessous du meuble.

-mmmmh....AH! Ja! Je la vois.

Gilbert passa sa main en dessous de la dite armoire pour essayer de l'atteindre, où il constata qu'il devait se coucher à terre pour étendre au maximum son bras. Ses efforts portèrent fruit alors qu'il tira victorieux le travail sur papier de dessous le meuble. C'est à ce moment là qu'il se rendit compte de sa position, ma foi, assez akward. Étendu complètement sur le sol sur son ventre, les jambes écartés...il se disait qu'il avait aussi dû produire de charmant mouvement pour essayer d'atteindre son but. Du coup il rougit brièvement, mais se dit que son frère n'avait rien vu. C'est dans la plus grande presse qu'il se remit sur pied, tendant le travail de Ludwig à son propriétaire.

-hhurm hurm...hum, tiens!

Il avait bel et bien vu juste, lui, il y arrivait.
Il se releva un peu, se mit à genoux. Il observa son frère, ses longues mains se glissant habilement sous l'armoire, comme les pattes d'un chat, tout le reste du corps suivant le mouvement.
Il était à plat ventre, les jambes légèrement écartés.
Le mouvement de poussé en avant était tout à fait charmant.
Ludwig rougit.
Il se demanda un instant si Gilbet se rendait compte de la position tendancieuse dans lequel il était. Il hésita un instant à lui faire remarquer, mais non, ça aurait été bien trop déplacé.

Par malheur, il croisa celui de son frère qui semblait être à peu de chose près dans le même état que lui. Il se releva, lui aussi. L'albinos lui tendit le papier, il le prit.
"Hm...Danke."

Il prit ses lunettes rester sur son bureau, et les mis sur son nez. Il parcourra rapidement la feuille. Il conclu d'une voix qui s’efforçait d'être aussi neutre que possible après ce qu'il venait de voire.
"C'est juste l'édito de la semaine prochaine. Rien de bien urgent."

Bon c'était pas comme si son frère lui avait matté le cul quand même, et puis quoi encore. Nein nein nein! Cette idée devait être mise de côté. Le fait que Ludwig ait l'oeil sur lui était complètement utopique. C'est pourquoi quand il pensait à ce genre de chose, Gilbert tassait assez vite sa fantasie de sa tête. Il n'avait pas envi de se faire de fausses idées, ça c'était sur.

Reprennant donc un air naturel, il metta ses mains dans les poches de son chandail tout en regardant son frère mettre ses lunettes. Mein gott qu'il était sexy avec ses- Nein nein nein! Effacer cette image! Pendant ce temps à essayer d'éviter toute pensée impure, il n'eut aucunement l'oreille attentive à ce que dit son frère.

-...bien urgent.

La tête de l'albinos se leva aux quelques mots qui parvinrent à lui.

-Hein? Qu'est-ce que tu disais?

"Hein? Qu'est-ce que tu disais?"

A ces mots, il releva lui aussi la tête et croisa son regard.
Il eu un moment de flottement. S'il ne l'avait pas entendu alors qu'il était tout proche, ça voulait dire qu'il était occupé à pensé à quelque chose d'autre. Est-ce qu'il s'était vraiment rendu compte que Ludwig ne s'était pas gêné à profiter de la vue?
Il espérais au plus profond de lui que non.

Ça serait passé pour un pervers finit, ce qui ne lui va pas du tout! Ce n'était pas le genre de personne à en reluqué une autre ouvertement, comportement qu'il juge indécent.
Mais après tout, le plus petit n'en était pas pour autant un modèle d'innocence. Nombre de fois, il l'avait observé en silence, de près ou de loin, appréciant ses gestes, son sourire, son corps, dans la discrétion la plus total.
C'était, peut-être, la première fois qu'il se faisait prendre à ce petit jeux là.

Il tenta de garder un semblant d'aplomb, souriant légèrement pour assurer que tout allais bien, et pour se rassurer lui-même.
"Je disais juste que ce n'étais rien d'important."
Il reposa d'un geste mal assuré la feuille sur le bureau.

Pour une raison inconnu de Prussia, la tension était tendu dans la pièce. Pas que c'était tendu négativement, mais ça rendait la situation un peu "akward". Encore inconnu du prussien, le fait que son petit frère ait des pensées perverses à son égard lui était complètement impossible. Il était au courant depuis bien longtemps que le blond se tenait très souvent en compagnie de l'italien. Le cheminement dans la tête de Gilbert était donc logique: Ludwig aimait Feli. Son frère servait de soutient ou encore de support moral, la personne à qui il pouvait se confier, du moins c'est ce que le frère en question pensait. Bien qu'il adorait le plus grand, Gil ne voyait pas d'inconvénient à qui le plus jeune aimait, tant que West était heureux tout allait bien pour East. Ils avaient forgés une très bonne relations avec les années qu'il savaient qu'ils pouvaient mutuellement se dire n'importe quoi.

N'aimant pas vraiment l'ambiance, Prussia se racla la gorge, dirigeant ses pas vers la sortie à reculons:

-Bon, eh bien je vais te laisser à ta besogne West.

L’atmosphère se faisait,soudain, pesante entre ces quatre murs.
L'allemand regarda furtivement par la fenêtre, dont les carreaux étaient encore bruyamment battus par la pluie, meublant le lourd silence qui s'installais tranquillement entre eux.

La gêne et la honte déballais eux aussi leurs bagages, s'installant dans son être. Il avait comme un sentiment de malaise à penser que son frère avait pu le prendre à faire ça, et ses joues seraient déjà rouges comme des pommes bien mûrs s'il n'avait pas un self-control à toute épreuve.
Il se refusait à croire que son grand frère avait compris, et qu'il pensais maintenant, que son si petit et innocent Ludwig pouvait regarder le regarder sous cette angle.
Et pourtant, si. Il avait grandit, c'était un temps révolue.

-Bon, eh bien je vais te laisser à ta besogne West.

Délivrance. La pression pouvait enfin retomber.
En voyant Gilbert se dirigeait vers la sortie, il lui adressa un geste rare s'il n'était forcé ou fait par politesse, témoignant d'une extrême affection et d'un profond respect à son égard, aussi furtif et timide était-il.

-D'accord. Merci de m'avoir rendu visite.
Dit-il, en un sourire.

Le temps ne semblait pas vouloir se calmer alors que la pluie continuait sa mélodie contre la grande fenêtre de la salle. Il pourrait toujours aller dans la serre, il aimait bien y aller alors que la pluie battait sur les carreau des murs transparent de la serre. C'était un son naturel qui lui plaisait, c'était doux et paisible, ce qui améliorait son travail. C'était une bonne idée, sa prochaine destination était dans l'espace florale sur le toit de l'académie.

Marchant son chemin jusqu'à la porte, l'albinos mit sa capuche sur sa tête pour affronté le déluge de l'extérieur. Le plus vieux fit un signe de main à son frère pour le saluer une dernière fois avant de quitter la salle et laisser son frère à son travail.

-On se revoit plus tard West!

Il claqua la porte derrière lui assez fortement comme à l'habitude, sans se préoccupé si l'autre avait fait une syncope. Marchant dans le couloir avec une attitude quelconque.
Direction la serre sous une pluie torride.

-On se revoit plus tard West!
Son frère repartait tranquillement, sous ce temps de chien

Il le laissa aller dehors sans un mot de plus.
Une fois son frère sortit de la pièce, il poussa un énorme soupir de soulagement, se laissant glisser sur sa chaise. La pression retombait, et d'un coup. Jamais il n'avait connue une tel tension s'instaurer aussi facilement face à son frère.Et d'habitude, c'est plutôt l'inverse: Sa présence le détend. L'impression de honte était toujours là, tenace. La prochaine fois, il tâchera de se montrer plus discret, comme il l'a toujours fait auparavant. Car c'était plus fort que lui. Il ne pouvait pas s'empêcher quelques regards discret en direction de frère.

Il se releva, et regarda dehors.
Entre deux gouttes, il apercevait son frère marcher rapidement. Connaissant bien ses habitudes, il supposait qu'il allait à la serre, ou peut-être rendre visite à France, après lui. Il lui jeta un dernier coup d'oeil, se sentant heureux de le voir, et honteux de le regarder de la sorte.

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