Match amical [Australie, Nouvelle-Zélande, Serbie, Féroé]

Rien de tel pour se mettre en forme qu’un petit match entre amis, c’est dans cette mentalité qu’il aller disputer un match de badminton avec Australie, Nouvelle-Zélande et Serbie.
En réalité ceci serait plutôt la seconde manche, étant donné que la première avait été vite écourtée grâce à sa merveilleuse chute, ça lui apprendra à mal attacher ses lacets à l’avenir.

Féroé était assez content de les voir, il appréciait leur compagnie à chacun d’entre eux, le petit blond pour aimer les moutons, le surfeur pour des histoires insolites et le brun pour avoir la tête sur les épaules. Des caractères bien différents, mais c’était peut-être ça qui lui plaisait au font, découvrir des gens bien différents que ça soit physiquement, mentalement ou culturellement.

Un peu d’échauffement pour ne pas faire de claquage, on resserre bien les nœuds de lacets, on installe le matériel, et voila, tout était prêt pour un bon moment. Il sourit à son coéquipier Australie.

- On va faire de notre mieux d’accord ?

Spoiler:

Nouvelle-Zélande aimait le sport; c'était donc avec entrain et impatience qu'il attendait la suite du match précèdent. Bien sûr, il avait été déçu d'avoir dû arrêter le match précèdent, mais une de ses règles sportive était de ne jamais forcer; une blessure est si vite arrivée...
Ainsi, après avoir fait quelques échauffements, un peu au hasard à vrai dire mais d'après sa logique, ils étaient près à se défouler un bon coup, raquette à la main, énergie dans le corps.

Plusieurs choses réjouissait le petit mouton du pacifique: déjà, il faisait du sport avec d'autres personnes, chose rare et chose qu'il savait apprécier, même adorer, car étant encore un pré-adolescent, il avait encore beaucoup d'énergie à revendre et avait été habitué jusque là à courir dans les prairies, jouer à saute-mouton, faire des roues sur la terre, faire un foot avec son mouton et toute autre activité où son corps aurait été mis en action.
Ensuite, il jouait avec des personnes qu'il aimait bien, le mot 'personnes' n'incluant pas des moutons -même si cela lui faisait un peu bizarre, mais bon-, et aussi que c'était un peu une manière pour lui de s'implanter encore plus dans l'établissement qui allait lui servir de maison durant de nombreuses années.

«Vous faites le service?» demanda t-il à l'équipe adverse, un volant à la main.
Le match s'annonçait... Bien!