[Veuillez insérer ici un titre attrayant]

Au premier coup d’oeil

✯ Nom : BERTONI, Lorenzo
✯ Surnoms : Généralement, c'est plutôt Enzo … Mais bon... À vous de voir …
✯ Âge : 16 ans, sir.
✯ Sexe : Masculin, aussi confus soit-il.
✯ Anniversaire : 3 septembre 94. Faut croire que Papa et Maman ont tout calculé pour que ça tombe pile poil pour la fête nationale …
✯ Orientation Sexuelle : Les femmes, juste les femmes. Ca a toujours été comme ça, ça le sera toujours.
✯ Aile : Latine, vraiment...
Latine
✯ Niveau Scolaire :
High {Personnages de 15, 16, 17 ans }

Le pays

❧ Pays que vous représentez : Saint-Marin. Allez, un petit effort, je suis sûr que tu sais le situer … !

❧ Langues que vous parlez :

Il a grandi en apprenant l'italien et l'anglais, s'en sort très bien dans les deux langues. Et en bon saint-marinais, il a commencé à étudier le français et l'allemand. Le premier est encore en cours, quant au second, il a bien dû mal, ainsi se contente-t-il de quelques phrases-bateaux, de quoi survivre si on l'abandonnait en pleine campagne allemande...

❧ Histoire du pays que vous représentez : 301 – Face à la répression romaine, le chrétien Marinus s'exile au mont Titano. D'autres persécutés le rejoindront, formant peu à peu une petite communauté. Après l'apaisement des tensions, Marinus devint diacre et on lui offrit les terres du mont. Il mourut en 366, marquant ainsi les véritables débuts de la petite communauté.

1243 – Le rang de Capitaine-Régent est établi, marquant une première étape dans l'affirmation d'un pays unique. En effet, avant cela, la politique du pays fonctionnait de manière assez semblable à celle de l'Empire Romain.

1463 – La famille des Malatesta tenta à maintes reprises d'envahir les territoires du petit pays, qui lutta du mieux qu'il put. Un siècle de conflits, et la famille tomba en disgrâce aux yeux du pape. Le pays en profita pour lier une alliance avec l'Église. Le pape légua trois seigneuries au pays, en 1463. Un an plus tard, et c'est celle de Faetano qui se rallia au pays de son propre gré. Depuis, la pays ne connut plus la guerre, ni la moindre extension.

1503 – Le pays est occupé par César Borgia. Mais cette occupation se révéla de forte courte durée.

1600 – Le pays met en place une nouvelle constitution, débouchant sur un régime parlementaire.

1739 – Giulio Alberoni, de manière arbitraire, occupe le pays. Celui-ci se tourne vers le pape, qui retire le cardinal de la place et rend l'indépendance au pays.

1797 – Napoléon envahit l'Italie. Mais jamais il ne posa les pieds à Saint-Marin, dont il respecta les droits. À partir de là, il est plus difficile de savoir ce qui est réel ou non. On dit que l'empereur avait une certaine admiration pour le petit pays, insoumis, à qui il avança quelques propositions toutes rejetées.

1815 – Le Congrès de Vienne reconnaît l'indépendance de Saint-Marin.

1849 – Le pays sert de refuge aux italiens exilés, durant la Risorgimento. C'est également le cas de Giuseppe Garibaldi, qui reçut plus tard la nationalité saint-marinaise.

1862 – Une union douanière et un traité d'amitié sont instaurés entre l'Italie et Saint-Marin, suite à l'unification italienne.

WWII – Le pays, fasciste, sert encore une fois de refuge. Jamais il n'enverra de soldats, d'armes ou d'argents à l'Italie malgré un rapprochement politique. La constitution ne fut jamais changée. Et malgré la neutralité du pays, il connut la frappe de la guerre, par des bombardements anglais et des combats entre les forces de l'axe et des alliés qui se produisaient dans la région.

1988 – Saint-Marin rejoint le conseil de l'Europe.

1992 – Le pays rejoint les Nations Unies.

L'humain

❧ Histoire Personnelle :

Tout a commencé par la plus simple des combinaisons... Un père et une mère. Monsieur venait de loin, et vint à Saint-Marin pour fuir son épouse envahissante. Madame vivait ici, pieuse et axant sa vie selon le Livre Saint. Ce fut le coup de foudre. Un mois après leur rencontre, ils se marièrent, et n'attendirent pas une année avant d'avoir un petit bambin. Lorenzo, qu'ils l'appelèrent. Ca aurait pu être une famille heureuse, mais un terrible événement frappa la petite famille. Le père mourut. C'est ce que sa mère lui a expliqué, très tôt. Il était bien trop jeune pour comprendre, il s'y était fait et finalement, jamais ce ne fut un handicap. Il grandit sans son père, seul avec sa mère. On dit que c'est à cause de cela, qu'il serait victime d'un certain... Complexe d'Oedipe assez marqué. Que nenni, vous dira-t-il. Mais bon...
Il sortait pas des masses. Ca a vite inquiété sa mère, on lui a fait passé des tonnes de tests, mais tous négatifs : non madame, votre fils est tout à fait normal, non madame, il ne souffre pas d'autisme, non madame, il est juste un peu ~~coincé~~ réservé. Alors, elle a fini par s'y faire et par élever son gosse comme il était : silencieux, asocial et appliqué. L'avantage, c'est qu'il n'était impliqué dans aucune bagarre de gosse et ses pantalons restaient clean !
Il restait à la maison, dans sa chambre, à lire toute sorte de choses. Il y avait des revues de formule un, des livres d'histoire, des manuels d'architectures, des magazines d'art... Il dévorait tout ce qui lui passait par la main. Alors, elle l'emmena visiter les châteaux du petit pays, et ses musées. Il était passionné. Absorbé par ce qu'il voyait. Gosse curieux et intéressé. Sa plus grande fascination d'enfance, ce sont les trois tours. Témoignage d'époque qui lui arrachait toute son attention. Quand on l'y emmenait, on le perdait tout de suite. Il s'arrêtait d'un coup, ou repartait plus vite. L'après-midi, il s'échappait au museo di stato. Bref. Le genre de gamin qui ne se lie pas aux autres, vit sa vie à côté et … Et bien... Et bien...
Puis, on le convia à rejoindre l'académie quand il eut 12 ans. Sélectionné pour représenter sa nation, le petiot ! Choqué, il l'était ! Et comblé, vous imaginez bien... Il boucla ses valises, embrassa sa mère et monta dans le premier avion. Et hop ! Le voilà au sein d'un nouvel univers ! Totalement paumé, le petit gosse. Parce qu'il a jamais su parler et lier des liens.
Au début, il agissait par préjugés. Il restait à l'écart des italiens, qu'il jugeait comme nuisibles (après tout, c'est bien eux qui sont en train de pomper son économie .. ! ), se montrait hésitant vis-à-vis de l'anglais et d'autres détails de ce genre. De bêtes préjugés. Ce qui lui a valu d'être longtemps ignoré. À son grand bonheur. Mais voilà. Maintenant, ça l'énerve. Parce qu'il commence à en avoir marre de trainer derrière lui une réputation de coincé ou autre chose. C'est proche de la réalité, mais... C'est pas génial. Et puis, maman lui a dit. Ca l'entrainera pour plus tard, de s'entrainer à parler, vous savez... Diplomatie, tout ça ...

❧ Vous avez l’air de quoi ?
Un petit gaillard.
Il est pas bien grand. Pour un garçon de son âge, il est même plutôt limite. Ce qui lui a valu bien des moqueries étant gosse … Et bien qu'il ne soit pas spécialement susceptible à propos de ce 'détail', il n'apprécie pas énormément qu'on le lui rappelle toutes les deux secondes. En plus de cela, non content de raser les pâquerettes, il n'est pas spécialement maigre. Pour ne pas dire que ce n'est absolument pas le cas. S'il n'est pas musclé – loin de là, monsieur est plutôt contre le sport – il garde son épaisseur, dû aux pâtes. C'est ça. Trop grosse consommation de pâtes sans avoir lever le petit doigt de son fauteuil. À force, ça a fini par se sentir au niveau de son ventre. Ca fait oreiller. Oh, bien entendu, c'est confortable, tout ce qu'il faut. Seulement, ça fait aussi très ours en peluche. Enfin bref. Ce n'est pas non plus un sujet qui l'énervera, mais il se peut qu'il soit vexé. Quand même.
Du coup, vous vous en doutez, côté force, on repassera plus tard. Lorenzo, c'est plus le genre de type qui demande à son épouse de lui ouvrir le pot de confiture. Faut dire que c'est dur ces saloperies. Enfin. De ce fait, il évite avec soin les disputes. Il sait qu'il ne pourra pas se défendre. Tout d'abord parce qu'il n'est pas fort, qu'il n'a pas non plus appris à se battre, mais également parce que les autres, c'est pas leurs cas. Et qu'il a beau tenir longtemps – c'est ça, un ours en peluche – il y a toujours un moment où ça craque. Et ça tache. Et c'est l'horreur pour faire partir le sang quoi. M'enfin, avis personnel.
Mais il se rattrape. Il a un joli visage. Du moins, c'est ce que dit sa mère. Elle vante les mérites des yeux d'un noir profond de son fils. Les yeux où tu plonges mais jamais tu ne ressors. Il a le regard insistant pour ne pas arranger les choses. Il fixe sans honte, droit dans les yeux. Oh, ça ne le rend pas plus perspicace que cela, non. Il fixe juste, mais une fixation fantôme, il passe à côté de ce qu'il faut voir. Parce qu'il est occupé à chercher. Le visage sous les masques des autres.
Il a les joues pleines. Pas rondes, ni maigres, non, pleines. Elles sont comme il faut, assez pour être pincer, trop peu pour lui donner un visage rond. L'effet pâtes n'est pas allé jusqu'au bout. Tant mieux. Il a les cheveux en bataille. Des cheveux noirs, aux reflets bruns, qui vont dans un sens et puis dans un autre. À croire qu'il n'est jamais coiffé, ce qui n'est pas tout à fait faux. Le matin, il se contente de passer la main, secouer et hop. C'est fait. Pourquoi allait plus loin ? Quoiqu'il fasse, ils seront toujours décoiffés. Généralement, ça forme une frange épaisse, qui dérive un peu sur le coté. Il l'accroche avec une barrette pour travailler, c'est gênant sinon. Et quand ça l'énerve, que ça rebique trop, hop, il met un chapeau. Le genre bonnet trop grand qui retombe derrière. Et comme ça, la question est réglée.
Il cherche pas de style. Pas tout à fait. Il s'habille comme ça vient. Certes, il y porte des fois quelques réflexions, mais pas vraiment des recherches approfondies. Du coup, c'est assez large. Il y a un peu de tout et de rien dans son placard. Généralement, c'est plutôt pull large et jean dans les converses. C'est passe-partout. Et puis, c'est confortable. C'est chemise parfois, sous un sweat. Des fois, ça fait un peu tâche pour les vêtements. Fautes de goût pas terrible. Mais il s'en fiche. Après tout, il n'est pas là pour défiler. Et puis, quand ça l'ennuie, qu'il ne sait plus quoi mettre, l'uniforme, ça marche bien aussi.

Et puis, c'est tout.

❧ Ça se passe comment dans votre tête ?

Certains s'accordent à dire qu'il y a peu de choses à dire, d'autres qu'il faut nuancer tout ça. Sa mère, elle, écrirait un roman si on le lui demandait, juste à décrire le caractère de son rejeton, en se répétant nullement. Tout est une question de point de vue, vous dira-t-elle.

On dira qu'il est calme. Il ne parle pas beaucoup, jugeant que cela est inutile de s'étaler sur des futilités. Ses phrases sont limitées au strict nécessaire, ce qui, généralement, leur font perdre toute poésie et beauté. Compressées, dénuées de jolis mots, généralement, elles sont bourrées de mots compliqués qui résument des paragraphes entiers de discours, dans l'unique but de … Et bien, de faire le plus court possible. Ce qui rend les discussions auquel il participe fort ponctuées de divers silences. Et si cela dérange certains, lui, cela ne l'affole pas. Il ne cherchera pas désespérément un sujet de conversation, sera plutôt du genre à attendre que cela lui vienne. Comme ça. Illumination. Inutile de vous dire que cela peut prendre bien longtemps, avant qu'il n'ouvre la bouche pour vous parler de son propre gré. Ce qui gène les gens parfois. Oh, bien sûr, il n'est pas le seul à parler aussi peu. Il le sait. Il a même classifier les silences. Il y a les froids, ceux qui s'en fichent tout simplement et qui n'ont aucunement envie de s'étaler. Il y a les timides, ceux qui n'osent tout simplement pas et à qui les blancs de conversation semblent des années interminables. Il y a les réfléchis, ceux qui pensent plus qu'ils ne parlent et qui attendent juste le bon moment pour rire. Il y a les autres, ceux qui peuvent rester des années dans leur silence sans que cela ne les gêne et qui, généralement, écoutent. Lorenzo, il écoute. Il parle pas des masses, mais il écoute beaucoup. C'est presque une adoration. Parlez-lui de ce que vous voulez, il essaiera de ne pas être choqué et puis … Zut. Parlez, c'est tout.
Mais ce qu'il aime par dessus tout, c'est d'aider. Oh, bien entendu, cela se limite à la parole avec de simples connaissances. Il essaie d'aider les perdus à retrouver un brin de clairvoyance sur leur situation et sur les possibilités de fin qui s'offrent à eux pour s'en sortir. Même si généralement, il vous refile à Monsieur-je-représente-le-Vatican (après tout, il est là pour ça, non ?), il essaie de se montrer aimable. Et d'une certaine aide. Après tout, quoi de plus magique qu'un remerciement, qu'un sourire qu'on vous offre ? Rien ! C'est tout simplement magnifique, et cela réchauffe son coeur. Et ça le fait se sentir vivant. D'une certaine manière.

C'est pas le plus grand fêtard. Ce n'est pas lui qui allumera le poste de radio pour danser en quelques déhanchés osés. Ce n'est pas lui qui poussera ses camarades à le suivre pour aller se bourrer gentiment la gueule dans une rue peu éclairée. Ce n'est pas lui sautera sur le premier venu pour lui demander d'être son ami sur facebook, ni autrement. Non, lui, il s'assied, regarde autour et c'est tout. C'est déjà beaucoup il vous dira. Il juge les fêtes comme des évènements à la fois « sympathiques » car elles permettent de rapprocher les élèves entre eux, mais également comme « nuisibles », par l'alcool, le trop plein d'animation et le monde... Mais le monde ! Lorenzo, il n'aime pas quand il y a trop de monde. Ca le fait fuir direct. Déjà, les cours, il prend un peu sur lui, alors vous imaginez... Aller se pointer dans un bar ! Mais plutôt aller se pendre directement … Ce n'est pas un grand social. Lui, s'il pouvait se limiter à, je ne sais pas … Trois bouquins, sa mère et son voisin, mais cela lui irait à merveille ! Et hop, question réglée !
Bon. C'est sûr que, avoir son amitié, ça peut paraître compliqué. Pourtant, c'est très simple. Lorenzo, il n'a pas l'habitude qu'on s'inquiète pour lui, qu'on lui porte de l'intérêt ou d'autres trucs du même genre. Il est pas non plus très contact physique. Alors, ça le choque un peu tout ça. Voilà. Pour qu'il s'attache aux autres, il faut que les autres l'apprécient. Être gentil, souriant, tout ce qu'il faut... Généralement, il s'attache aux autres parce qu'on l'a brusqué … Mais que cela lui fit plus de bien que de mal. Enfin. Une fois qu'il s'attache, il lâche plus. Il s'accroche et plus moyen de le virer de là …

Il n'empêche que... S'il ne fait pas la fête, ça ne l'empêche pas de se goinfrer. Manger, et bien... C'est naturel et normal. Quand son estomac se met à hurler pour qu'il le nourrisse, il ne se fait pas prier : il va se payer à manger. Alors, oui, à la longue, ça revient cher. C'est pour ça qu'il développe diverses techniques de « radin » qu'on dit. Econome vous corrigera-t-il. Comme, par exemple, garder les sachets de sucre aux cafés. Retourner une latte cassée jusqu'à ce qu'elle soit inutilisable. Attendre que ses chaussures se la jouent décapotables. Guetter les promotions et acheter les biscuits bas de gammes. Totalement.
Seulement, il y a une limite. Une seule. Pour ça, il liquiderait tout son compte en banque, dépenserait jusqu'au dernier sou, ira voler son voisin. C'est sa passion cachée, qu'il n'aime pas des masses partager. Tout simplement parce qu'il a peur d'être le seul à aimer ça. Après tout … À sa connaissance, c'est le seul à se taper les rediffusions des dernières courses de formule un en rentrant de la messe du dimanche ! Dans sa valise, sous son lit, c'est un musée. Il est adepte des magazines avec figurines de voitures offertes. Le genre de trucs hyper spécialisés, qu'il relit bien trois fois avant de l'utiliser comme cale-chaise. Là, elles se disputent la place. Toutes rangées par années, modèles, etc … Et il mord si on les abime ! Pour de vrai ! Limite s'il ne passe pas deux couches de vernis en plus pour être sûr qu'elles n'auront jamais rien. Ce sont ses petits amours …
Cela dit … Il a beau se vouloir grand collectionneur, jamais l'idée de devenir pilote ne lui viendrait à l'esprit. Il a bien mieux à faire comme … Euh, et bien... Réviser !

J'ai parlé de la messe tout à l'heure … Parce que oui, il va à la messe du dimanche chaque semaine. Monsieur est croyant. Oh, on peut toujours trouver mieux que lui, ce n'est pas lui qui ira cirer les pompes de Monsieur-je-représente-le-Vatican. Comme dit plus tôt, il a bien mieux à faire. Mais il y va chaque semaine, nettoie avec une éponge toute douce son chapeler tous les vendredis et joint les mains chaque soir avant de dormir. Il croit encore au mariage par exemple. De toute façon, tenir la main d'une fille, c'est déjà assez embarrassant comme ça, même en privé, alors, pour ce qui est d'aller plus loin … ! Et, en plus, le mariage, c'est entre une fille et un garçon. Et bah, ouais. Adam, c'était un mec et Êve, une fille. Ca, c'était un couple. Alors, bon, si deux mecs ou deux filles ne le scandalisent pas... Ca le gêne énormément. Du genre, mal à l'aise et tout. C'est dans ces moments-là que son cerveau carbure pour trouver un sujet de conversation pour éviter que les deux se mettent à se peloter.

Pfiou. Je crois qu'on en dit pas mal …

… Ah oui. Il est lâche. Gentil, tout ça, mais terriblement lâche.

…

Bonus bisou.

❧ Clubs dont vous faites partie: ... Catéchisme ! Quoi, comment, ce n'est pas un club ?! Bon … Dans ce cas, aucun.

Test Rp

Pourquoi il avait accepté ? Par honneur. Et par fierté. Représenter son pays, son beau pays, dans une école internationale rassemblant un élève par pays, c'était … C'était merveilleux. Pourquoi aurait-il refusé ? Il avait fait ses valises et hop ! Dans l'avion.
Sauf que … Sauf que maintenant, devant le bâtiment, il hésitait. Ca avait l'air grand, prestigieux … Comment un petit gamin de 12 ans, tout droit sorti d'un pays microscopique paumé en pleine Italie, soit, une forme de campagne, dans un lieu aussi … Aussi … Même les mots se perdaient. Il serra son poing, rabattit sa frange en arrière pour se donner un air plus présentable et entra. Longeant les murs, il se faisait oublier. Le temps d'atteindre le bureau du directeur. Deux élèves passèrent en rien, il entra sa tête entre ses épaules. Anglais. Il comprenait. Dans un soupir, il remercia ses années de torture à coups de grammaires et dictionnaires.

« Bon.. Allez... Tu peux le faire … Il te suffit de trouver la bonne porte et … »

Facile à dire. Plus difficile à faire. Là, ici, tout était grand. Très grand. Super grand. Trop. Mais où est le plan ?! Bon sang …

« Bon D—. »

Il s'arrêta. Non, ça, c'était blasphémer. Il glissa la main dans sa chemise pour saisir la petite croix qui pendait là et la serra entre ses doigts. Allez … Toi qui a tant prié … Profites-en un peu maintenant !

VOUS ! Oui, vous !

Surnom : Froddie, toujours le même.
Âge : Toujours 17 ans, je crois ...
Comment vous avez connu le forum ? Via la version un, genre ! … bon, ok, c'est aussi un double-compte. <3
Des commentaires ? Bon. Monsieur a subi un changement de nom, un redesign léger et une amputation de mèche. Mais sinon, c'est toujours le même : D... Sinon, j'ai rien à dire.
Et pour finir, le fameux code secret ! Pour prouver que vous avez lu les règlements et le contexte vous trouverez le code en rouge et noir. : Mes petits yeux fatigués ont pas encore eu le courage d'aller vérifier si c'est toujours le même... Mais j'y vais, j'y cours, j'y vole : D
EDIT : Aaaah. { OK par Dirlo } *retourne se reposer les nyeux*

Validé jeune ital... sain-marinais Very Happy

Désolé du retard, re-bienvenue dans votre asile

.... J'l'ai entendu, le "ital" ! *vexay*

S'non. Merci. Genre. : D

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