25 / 10 / 11
Me revoici à écrire à l'infirmerie. Rien de bien grave cette fois-ci. Seulement lui, l'envoyé du diable aux yeux rouges tel le fruit défendu. Il s'est fait plaisir, encore une fois, en utilisant la violence pour « résoudre » un problème ou plutôt se défouler dans un sentiment de perversité grotesque malsaine sous acte de barbarie. Que ne ferait pas un désespéré pour ne pas agir tel un chien arrangé? Pas grand chose, il se laisse faire sans plus de résistance. En même temps, les hérétiques sont des sujets où ils faut se poser plusieurs questions. Malgré tout mes avertissements la plupart parle du fait du « bonheur » avec leur compagnon du même sexe. Je me demande bien de quel bonheur il parle, certainement pas le savoir à propos de ce qui les attend en enfer. Je crois que l'infirmière arrive avec ma glace.
Bon, me revoilà à une place plus approprier pour écrire et de plus, j'ai de la glace pour la douleur de mes joues. Donc, comme je disais, les hérétiques sont bien curieux. Déjà comme exemple, frère ..je ne me rappelle plus le nom. Enfin, celui qui ressemble terriblement à frère États-Unis, ma donner de la glace pour mettre sur mes joues après que le païen à la chevelure blanche comme la laine de mouton sois partie de la salle. Là, une chose que je n'arrive pas à comprendre. Au lieu de protéger une personne du mal, il est mieux de la laisser se faire blesser pour ensuite paraître bon en l'aidant à se soigner? Je ne suis pas dupe. Cet hérétique essaie d'acheter mon pardon pour ces horribles pêchés qui ne se sont toujours pas arranger depuis!
Et qui accepterait l'aide d'un hérétique toujours sous l'emprise des flammes de l'enfer, contrôlé comme une marionnette prise dans les ficelles du diable?
Il faudrait tous les brûlés.
Les pendre aussi.
Cette maladie est partout.
Ils ne veulent pas voir leurs pêchés.
Ils disent « peu importe l'enfer »?
Ils appellent ça le bonheur?
Il faudrait voir leurs visages agonisant de douleur, priant le pardon,
pendant qu'ils brûleront dans les flammes, pendant que leurs pieds flotteront dans le vide,
en-dessous de la corde qui les garde pendu dans un visage éternel demandant grâce au seigneur.
Le diable est partout.
Et Dieu l'est aussi.
J'ai eu une bonne idée de ne pas me servir trop longtemps de cette glace donné par.. ce frère enfin, lui qui n'a pas de nom. Les hérétiques ne sont pas dignes de confiance, il n'y a qu'au moment où ils reconnaîtront leurs pêchés et qu'ils accepteront l'aide de Dieu qu'ils le seront.
Ces regards haineux.
Cette violence inutile.
Ces pleures abject pour un « bonheur » inexistant.
Les hérétiques sont méprisables.
Mais ils faut les prendre en pitié, après tout,
ce n'est pas leurs fautes.
Il faut les aider et insisté, sinon,
qui donc le ferait?
Enfin bon, il est temps de dormir, et je crois que pour cette fois je vais dormir parfaitement droit sur le dos, pas question de bouger la tête.
26 /10 / 11
17 : 33
La trahison et la déception. L'orgueil aussi. Et la colère surtout. Ah, la colère. Un si mauvais pêché, pouvant vous rendre fou. Elle entraîne la folie, les insultes, la violence ou même le meurtre. Ma douleur a bien raison d'être. Parfois, on pense avoir un bon allié, une personne de confiance. Un
catholique tout autant que moi qui parle d'égale à égale avec un autre
catholique, mais semblerait-il que je me sois trompé. La tromperie, savoir user de mensonges, de flatteries mensongères tout aussi et savoir être malin, user de compétences à faire croire des choses diverses pour ne jamais se faire prendre.
J'ai été trompé. Aussi facilement un agneau qui vient de naître et qui aurait grandit avec une personne ayant volé l'identité de sa mère. Je dois dire, j'avais confiance en lui. Après tout, peut-être que cela n'est pas sa faute. La diable la charmé, attiré dans les pêchés, alors que je ne me doutait de rien.
Frère Autriche, lui aussi, un de ces hérétiques.
Et à cause de lui.
L'envoyé du diable, au yeux rouge, tel le fruit défendu.
Pourquoi un
catholique comme lui?
Il m'avait déjà parlé du fait qu'il en craignait. Qu'une chose désagréable le poursuivait.
Il aurait dû m'écouter.
Et le détruire.
Malheureusement, le mal est fait. Un hérétique il est devenu. Dans l'emprise du diable danse-t-il maintenant à travers les ficelles accrochés aux doigts de celui-ci.
Tout est de sa faute.
Je savais bien qu'il n'était pas net,
il suffisait de croiser son regard.
Je ne sais comment, il arrive toujours à convaincre tout le monde d'aller en enfer, comme si cela était mieux pour ces pauvres gens à l'âme tourmenté.
Je ne le laisserai pas faire.
Cette une guerre.
Le bien contre le mal.
Dieu contre le Diable.
Une guerre éternelle.
Que je ne compte pas perdre.
Et encore moins abandonner.
Ces âmes iront au paradis.
Que le Seigneur prend pitié,
Amen.